Menu

Le téléchargement : le dernier modèle d’OpenAI et le potentiel de l’impression 4D

17 septembre 2024 - Technologies


La semaine dernière, OpenAI a publié un nouveau modèle appelé o1 (précédemment appelé sous le nom de code « Strawberry » et, avant cela, Q*) qui surpasse GPT-4o.

Contrairement aux modèles précédents, qui sont bien adaptés aux tâches linguistiques telles que l’écriture et l’édition, OpenAI o1 se concentre sur le « raisonnement » en plusieurs étapes, le type de processus requis pour les mathématiques avancées, le codage ou d’autres questions basées sur les STEM. Le modèle est également formé pour répondre à des questions de niveau doctorat dans des matières allant de l’astrophysique à la chimie organique.

Jusqu’à présent, la plupart des progrès réalisés dans le domaine du LLM ont été axés sur la langue, mais en plus d’être erronés sur de nombreux faits, ces LLM n’ont pas réussi à démontrer les types de compétences requises pour résoudre des problèmes importants dans des domaines tels que la découverte de médicaments, la science des matériaux, le codage ou la physique. Le programme o1 d’OpenAI est l’un des premiers signes que les LLM pourraient bientôt devenir des compagnons véritablement utiles aux chercheurs humains dans ces domaines. Lire l’article complet.

—James O’Donnell

Cet article est tiré de The Algorithm, notre newsletter hebdomadaire qui vous donne un aperçu privilégié de tout ce qui concerne l’IA. S’inscrire pour le recevoir dans votre boîte mail chaque lundi.

Ce designer crée de la magie à partir de matériaux du quotidien

En 2012, le designer et informaticien Skylar Tibbits a commencé à travailler sur des matériaux imprimés en 3D qui pourraient changer de forme ou de propriétés après avoir été imprimés, un concept que Tibbits a surnommé « impression 4D », où la quatrième dimension est le temps.

Aujourd’hui, l’impression 4D est un domaine à part entière : elle fait l’objet d’une société professionnelle et de milliers d’articles, et les chercheurs du monde entier étudient des applications potentielles allant des dispositifs biomédicaux auto-ajustables à la robotique souple.

Mais peu de temps après le lancement de l’impression 4D, Tibbits se tournait déjà vers un nouveau défi : quelles autres capacités pouvons-nous intégrer aux matériaux ? Et pouvons-nous y parvenir ? sans impression? Lire l’histoire complète.

—Anna Gibbs

Cette pièce est tirée de la dernier numéro imprimé de MIT Technology Review, qui célèbre les 125 ans du magazine ! Si ce n’est pas déjà fait, abonnez-vous maintenant pour obtenir 25% de réduction futures copies une fois qu’elles auront atterri.